Une famille irlandaise du genre à toutes celles dont nous sommes, sage, humaniste, travailleuse, un père, une mère, quatre enfants, trois garçons de quelques mois à 16 ans et une fille deuxième née . tout va pour le mieux dans cette région semble t-il ! mais voilà que politiquement, le régime change, tout s'interdit, surtout la culture, l

La terre est ronde, qui voudrait éviter tout soubresaut, s'alliant à l'humanité qui la comble pour que chacun puisse y vivre, libre d'aller en paix vers un avenir commun … comme on est loin du compte, les rivalités entre peuples pour cause de territoires et de pouvoir, de religions et de profits, de puissance et de gloire ne font qu'engendrer

C'est déjà du passé, trois jours pourtant qui ont fait flotter un avant goût d'été . sous un ciel bleu qu'agrémenait le soleil, valsaient les gilles sous leur chapeau de plumes d'autruche, battant du pied les ronds pavés de leurs sabots de bois . j'étais là, avec gorian, tanaïs et son copain, recueillant les oranges généreusement offer

Les temps sont durs pour les rêveurs, tout comme eux, je tente de penser joyeux, d'oublier la terreur, de vivre à l'heure de la terre, des saisons et des fleurs . pourtant des nuages sombres s'amoncellent, et si les bombes tombent sur l'ukraine, gaza, elles nous semblent encore loin, malgré le bruit qui retentit faisant frémir nos coeurs, déte

Il est revenu le temps où toi et moi jouons à nous stimuler, tu me rends force et courage, tandis que je t'aère des mousses et ivraies qui t'allourdissent . ce n'est qu'un début, en commençant par les parterres d'où viendront les premières fleurs printanières, déjà les perce-neige développent leurs corolles, toutes timides encore … sui

Le plaisir retrouvé, d'aller et de venir, comme une vague qui sur le sable s'étire, rare passant, peu de mouettes, mais des tas de bécasseaux qui comme moi, avancent et reculent au gré de la marée montante .

J'ai le coeur à l'ouvrage quand le soleil ouvre ses volets, que les premières lueurs inondent le paysage, tel le terril qui reverdit, la terre réclame mes soins, toute voile dehors, armée de ma fourche je la retourne, elle se donne amoureusement, et je ris de la voir si tendre et complice … déjà dans les parterres dégagés, les premières

Comme tous les jours, quand à péronnes je suis, l'aventure au petit bois m'offre ses charmes, du chant des oiseaux à peine réveillés, au crissement des feuilles, sous les branches nues de ces arbres dévêtus, alors que le soleil monte à l'horizon, je vais prendre mon bol d'air . l'hiver trop pluvieux à déraciné bien de mes amis qui jonche

Chaque jour, une mer nouvelle sur une même plage le ciel parfois s'habille de nuages, passants furtifs dansant au vent à ce vent froid j'offre le dos, et je vais de l'avant choisissant le retour par les dunes où nul autre que moi, ne s'aventure ...

C'est un livre difficile à lire, et bien que fiction, il incorpore des épisodes de la vie de personnages historiques : j. marion sims (père de la gynécologie moderne) silas weir mitchell (père de la neurologie médicale)et henry cotton(directeur de l'asile d'aliénés de new jersey) le tout s'étirant de 1813 à 1930 . la médecine d'aujourd'h